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مُساهمة من طرف zineb belabbas السبت يناير 12, 2013 11:02 pm

Le
narrateur adulte, miné par la solitude commence son récit pour mieux
comprendre sa solitude qui date depuis toujours. Il présente ensuite les
locataires de Dar chouafa : lalla kenza la voyante ( au
rez-de-chaussée), Driss el Aouad , sa femme Rahma et leur fille zineb
(au premier étage) et fatma Bziouya au deuxième étage).Il évoque le
souvenir du bain maure et de sa Boite à Merveilles où les objets qui s'y
trouvent lui tiennent compagnie . Puis, il relate le souvenir d'une
dispute entre sa mère et Rahma.
En revenant du m'sid , le narrateur
trouve sa mère souffrante.. Lalla Aicha son amie, vient lui rendre
visite et réussit à la convaincre de rendre visite à Sidi Boughaleb.A la
fin de cette visite, sidi Mohamed est griffé par un chat. Fatigué , le
petit enfant ne va pas au m'sid et nous décrit les matinées à la maison
tout en évoquant l'origine de ses parents, et le souvenir de Driss le
teigneux, l'apprenti de son père.
Le narrateur raconte sa journée au
Msid . le soir, remarquant que Fatima Bziouiya s'éclaire avec une lampe à
pétrole, Lalla Zoubida insiste pour que son mari lui en achete une, ce
qui est fait le lendemain. Ensuite, Il évoque le souvenir de la
disparition de zineb, et comment sa mère réussit à la retrouver à la
maison des Idrissides. Rahma, en guise de louange à Dieu, prépare un
repas pour les mendiants. Toutes les voisines y participent de bon cœur.
Les
premiers jours de printemps, Lalla Zoubida et son fils rendent visite à
lalla Aicha. Sidi mohamed profite de l'occasion pour jouer avec les
enfants des voisins .Lalla Aicha raconte ensuite à son amie les malheurs
de son mari avec son associé Abdelkader. Le lendemain, La mère rapporte
ce récit malheureux à son mari. Celui-ci va évoquer devant le petit
sidi Mohamed le souvenir d'Abdellah l'épicier qui racontait des
histoires.
Un mercredi, le Fquih explique à ses élèves ses projets
pour Achoura. A la maison, Lalla Zoubida ne se fatigue pas à raconter
les malheurs de Lalla Aicha à Fatima, puis à Rahma leur faisant
promettre de garder le secret. Ensuite, le narrateur relate le souvenir
de la mort de Sidi Md Ben Tahar. Ayant assisté à la scène, le petit
enfant fait un cauchemar la nuit.
Pendant les préparatifs pour
Achoura au Msid, le fquih organise le travail et forme des équipes. Le
petit Sidi Mohamed est nommé chef des frotteurs .Le matin suivant, il
accompagne sa mère à la kissaria pour acheter un nouveau gilet. De
retour chez lui, sidi Mohamed se dispute avec Zineb.Sa mère se met en
colère. Triste et pris de faim,, le petit enfant plonge dans ses
rêveries. Le narrateur nous rapporte ensuite l'histoire de Lalla khadija
et son mari l'oncle Othman racontée aux voisines par Rahma.
la
veille de l'Achoura, les femmes s'achètent des tambours et Sidi Mohamed
une trompette. Il participe au Msid aux préparatifs de la fête. Le
lendemain , il accompagne son père chez le coiffeur où il écoute sans
interêt les conversations des adultes.
Le jour de l'achoura, le petit
enfant se réveille tôt et met ses vêtements neufs avant d'aller au
m'sid célébrer cette journée exceptionnelle.. Après le repas, Lalla
Aicha vient rendre visite à la famille du narrateur.
Après l'Achoura,
la vie retrouve sa monotonie. Mais avec les premiers jours de chaleur,
la mère déclare la guerre aux punaises. Un jour, le père du narrateur
décide d'emmener sa femme et son fils au souk des bijoux pour acheter
des bracelets . Accompagnée de Fatma Bziouya, la famille du narrateur
arrive au souk des bijoutiers mais le père se trouve le visage tout en
sang après une bagarre avec un courtier. Lalla Zoubida,superstitieuse,
ne veut plus ces bracelets, elle pense qu'ils portent malheur. La mère
raconte à lalla Aicha la mésaventure du souk. Sidi Mohamed tombe malade.
Le
père a perdu tout son capital. Il décide de vendre les bracelets et
d'aller travailler aux environ de Fès. Sidi Mohamed souffre toujours de
fièvre. Le départ du père est véu comme un grand drame . Un jour, la
mère rend visite à son amie Lalla Aicha qui lui propose d'aller
consulter un devin : Si elArafi .
le narrateur évoque le souvenir du
voyant Si Elarafi. Lalla Zoubida rentre chez elle tout en gardant le
secret de la visite... elle décide de garder son enfant à la maison et
de l'emmener chaque semaine faire la visite d'un marabout.
Un matin
elle reçoit la visite d'un envoyé de son mari. Lalla Aicha vient prie
son amie de lui rendre visite le lendemain parce qu'elle a des choses à
lui raconter.
Chez Lalla Aicha, les femmes discutent. Elle reçoit la
visite de Salama, qui raconte son rôle dans le mariage de Si Larbi avec
la fille du coiffeur et les problèmes du nouveau couple..
Le
narrateur dans ce dernier chapitre raconte le retour de son père. Sidi
Mohamed raconte à son père les événements passés pendant son absence. Le
père du narrateur apprend que M.Larbi s'est séparé avec sa jeune
épouse.. Sidi Mohamed, toujours aussi solitaire qu'au début et aussi
rêveur, sort sa boite à merveilles et se laisse bercer par ses rêves...

Chapitre (1):

- la description de « DAR CHOUAFA » et leur entourage puis vient la description du Msid et vient après la séance du Bain maure.
- La dispute de RAHMA avec Lalla Zoubida.
- Evanouissement du garçon.

Chapitre (2):

- La visite de Lalla Aicha.
- Elles se rendent avec sidi Mohamed à Sidi Ali Boughaleb.
- Le Nr se fait griffer.
- Le lever dans la maison traditionnelle.

Chapitre (3):

- Fatma Bziouya a achetée une lampe à pétrole.
- Le lendemain Lalla Zoubida demande à Mâalam Abdeslam de lui acheter une se dernier succombe a désir et la lui achète.
- La disparition de Zineb.
- Rahma organise un repas pour les pauvres.

Chapitre (4):

- Les deux femmes pleurent à cause de ce que vient de leur révèle My Larbi à sa femme. (escroquer par son associé).

Chapitre (5):

- La mort d’un voisin : Sidi Ahmed Ben Tahar.
- Cauchemar et délire.

Chapitre (6):

- Nettoyage du Msid et fierté du Nr nommé «chef des frotteurs».
- L’achat des habits neufs à la « kissarya ».
- Mésaventure de Si Othman (marié à une très jeune fille).

Chapitre (7) :

- deux jours avant Achoura et les préparatifs commencent.
- Le réveil tôt du garçon.
- Coupe de cheveux et la douche nocturne.
- Rites : psalmodie au Msid.
- La visite de Lalla Aicha.

Chapitre (Cool:

- Dépit du Nr en raison du rire de ces parents d’une de ses réflexions.
- Querelle du père dont on a perdu la trace juste après avec un courtier.
- Cauchemars marquants de l’enfant.
- Cris et pleurent après que le mari de Lalla Aicha épouse une seconde femme (la fille du coiffeur).
- Le Nr tombe malade.
- La dispute entre maalam abdeslam et le dellal.

Chapitre (9):

- le père a perdu son maigre capital, sa résolution de partir travailler comme moissonneur.
- Départ du père.
- Conséquence : détérioration, solitude, vie double de l’enfant.
- La visite chez Lalla Aicha.

Chapitre (10):

- le Nr, sa mère, Lalla Aicha se rendent chez le Fqih Sidi El Arafi.
- Prémonition du Fqih.
- La mère décide de retenir l’enfant à la maison.
- Visite d’un émissaire de la part du père.
- Visite de Lalla Aicha qui réserve une surprise à son amie.

Chapitre (11):

- Evolution de la relation entre My Larbi et sa nouvelle épouse.

Chapitre (12):

- Euphorie, considération sur le chant.
- Retour du père.
- Joie extrême.
- Visite courtoisie de Driss El Aouad.

Auteur inconnu

Résumé chapitre par chapitre


L’hiver

Chapitre I:

-Dar Chouafa
Deux
éléments déclenchent le récit : la nuit et la solitude. Le poids de la
solitude. Le narrateur y songe et part à la recherche de ses origines :
l’enfance.Un enfant de six ans, qui se distingue des autres enfants
qu’il côtoie. Il est fragile, solitaire, rêveur, fasciné par les mondes
invisibles. A travers les souvenirs de l’adulte et le regard de
l’enfant, le lecteur découvre la maison habitée par ses parents et ses
nombreux locataires. La visite commence par le rez-de-chaussée habité
par une voyante. La maison porte son nom : Dar Chouafa. On fait
connaissance avec ses clientes, on assiste à un rituel de musique Gnawa,
et on passe au premier où Rahma, sa fille Zineb et son mari Aouad,
fabricant de charrues disposaient d’une seule pièce. Le deuxième étage
est partagé avec Fatma Bziouya. L’enfant lui habite un univers de fable
et de mystère, nourri par les récits de Abdellah l’épicier et les
discours de son père sur l’au-delà. L’enfant de six ans accompagne sa
mère au bain maure. Il s’ennuie au milieu des femmes, Cet espace de
vapeur, de rumeurs, et d’agitation était pour lui bel et bien l’Enfer.
Le chapitre se termine sur une sur une querelle spectaculaire dont les
acteurs sont la maman de l’enfant et sa voisine Rahma.

Chapitre II

-Visite d’un sanctuaire
Au
Msid, école coranique, l’enfant découvre l’hostilité du monde et la
fragilité de son petit corps. Le regard du Fqih et les coups de sa
baguette de cognassier étaient source de cauchemars et de souffrance. A
son retour, il trouve sa mère souffrante. La visite que Lalla Aicha, une
ancienne voisine, rend ce mardi à Lalla Zoubida, la mère de l’enfant,
nous permet de les accompagner au sanctuaire de Sidi Boughaleb. L’enfant
pourra boire de l’eau de sanctuaire et retrouvera sa gaieté et sa
force. L’enfant découvre l’univers du mausolée et ses rituels. Oraisons,
prières et invocations peuplaient la Zaouia. Le lendemain, le train
train quotidien reprenait. Le père était le premier à se lever. Il
partait tôt à son travail et ne revenait que tard le soir. Les courses
du ménage étaient assurées par son commis Driss. La famille depuis un
temps ne connaissait plus les difficultés des autres ménages et
jouissait d’un certain confort que les autres jalousaient.

Chapitre III:

-Le repas des mendiants aveugles
Zineb,
la fille de Rahma est perdue. Une occasion pour lalla Zoubida de se
réconcilier avec sa voisine. Tout le voisinage partage le chagrin de
Rahma. On finit par retrouver la fillette et c’est une occasion à fêter.
On organise un grand repas auquel on convie une confrérie de mendiants
aveugles. Toutes les voisines participent à la tâche. Dar Chouafa ne
retrouve sa quiétude et son rythme que le soir.

Le printemps

Chapitre IV:

-Les ennuis de Lalla Aicha
Les
premiers jours du printemps sont là. Le narrateur et sa maman rendent
visite à Lalla Aicha. Ils passent toute la journée chez cette ancienne
voisine. Une journée de potins pour les deux femmes et de jeux avec les
enfants du voisinage pour le narrateur. Le soir, Lalla Zoubida fait part
à son mari des ennuis du mari da Lalla Aîcha, Moulay Larbi avec son
ouvrier et associé Abdelkader. Ce dernier avait renié ses dettes et même
plus avait prétendu avoir versé la moitié du capital de l’affaire. Les
juges s’étaient prononcés en faveur de Abdelkader. L’enfant, lui était
ailleurs, dans son propre univers, quand ce n’est pas sa boîte et ses
objets magiques, c’est le légendaire Abdellah l’épicier et ses
histoires. Personnage qu’il connaît à travers les récits rapportés par
son père. Récits qui excitèrent son imagination et l’obsédèrent durant
toute son enfance.

Chapitre V :

L’école coranique.
Journée
au Msid. Le Fqih parle aux enfants de la Achoura. Ils ont quinze jours
pour préparer la fête du nouvel an. Ils ont congé pour le reste de la
journée. Lalla Aîcha , en femme dévouée, se dépouille de ses bijoux et
de son mobilier pour venir au secours de son mari. Sidi Mohamed Ben
Tahar, le coiffeur, un voisin est mort. On le pleure et on assiste à ses
obsèques. Ses funérailles marquent la vie du voisinage et compte parmi
les événements ayant marqué la vie d de l’enfant.

Chapitre VI :

Préparatifs de la fête.
Les
préparatifs de la fête vont bon train au Msid. Les enfants constituent
des équipes. Les murs sont blanchis à la chaux et le sol frotté à grande
eau. L’enfant accompagne sa mère à la Kissaria. La fête approchait et
il fallait songer à ses habits pour l’occasion. Il portera un gilet, une
chemise et des babouches neuves. De retour à la maison, Rahma insiste
pour voir les achats fait à la Kissaria.Le narrateur est fasciné par son
récit des mésaventures de Si Othman, un voisin âgé, époux de Lalla
Khadija, plus jeune que lui.

Chapitre VII :

La fête de l’Achoura.
La
fête est pour bientôt. Encore deux jours. Les femmes de la maison ont
toutes acheté des tambourins de toutes formes. L’enfant lui a droit à
une trompette. L’essai des instruments couvre l’espace d’un
bourdonnement sourd. Au Msid, ce sont les dernières touches avant l e
grand jour. Les enfants finissent de préparer les lustres. Le lendemain ,
l’enfant accompagne son père en ville. Ils font le tour des marchands
de jouets et ne manqueront pas de passer chez le coiffeur. Chose peu
appréciée par l’enfant. Il est là à assister à une saignée et à
s’ennuyer des récits du barbier. La rue après est plus belle, plus
enchantée. Ce soir là, la maison baigne dans l’atmosphère des derniers
préparatifs.
Le jour de la fête, on se réveille tôt, Trois heures du
matin. L’enfant est habillé et accompagne son père au Msid célébrer ce
jour exceptionnel. Récitation du coran, chants de cantiques et
invocations avant d’aller rejoindre ses parents qui l’attendaient pour
le petit déjeuner. Son père l’emmène en ville.
A la fin du repas de
midi, Lalla Aicha est là. Les deux femmes passent le reste de la journée
à papoter et le soir, quand Lalla Aicha repart chez elle, l’enfant
lassé de son tambour et de sa trompette est content de retrouver ses
vieux vêtements.

L’été.

Chapitre VIII :

Les bijoux du malheur.
L’ambiance
de la fête est loin maintenant et la vie retrouve sa monotonie et sa
grisaille. Les premiers jours de chaleur sont là. L’école coranique
quitte la salle du Msid, trop étroite et trop chaude pour s’installer
dans un sanctuaire proche. L’enfant se porte bien et sa mémoire fait des
miracles. Son maître est satisfait de ses progrès et son père est
gonflé d’orgueil. Lalla Zoubida aura enfin les bracelets qu’elle
désirait tant. Mais la visite au souk aux bijoux se termine dans un
drame. La mère qui rêvait tant de ses bracelets que son mari lui offre,
ne songe plus qu’a s’en débarrasser. Ils sont de mauvais augure et
causeraient la ruine de la famille. Les ennuis de Lalla Aicha ne sont
pas encore finis. Son mari vient de l’abandonner. Il a pris une seconde
épouse, la fille de Si Abderahmen, le coiffeur.
Si l’enfant se
consacre avec assiduité à ses leçons, il rêve toujours autant. Il
s’abandonne dans son univers à lui, il est homme, prince ou roi, il fait
des découvertes et il en veut à mort aux adultes de ne pas le
comprendre. Sa santé fragile lui joue des tours. Alors que Lalla Aîcha
racontait ses malheurs, il eut de violents maux de tête et fut secoué
par la fièvre. Sa mère en fut bouleversée.

Chapitre IX :

Un ménage en difficulté.
L’état
de santé de l’enfant empire. Lalla Zoubida s’occupe de lui nuit et
jour. D’autres ennuis l’attendent. Les affaires de son mari vont très
mal. Il quitte sa petite famille pour un mois. Il part aux moissons et
compte économiser de quoi relancer son atelier. L’attente, la souffrance
et la maladie sont au menu de tous les jours et marquent le quotidien
de la maison. Lalla Zoubida et Lalla Aicha, deux amies frappées par le
malheur, décident de consulter un voyant, Sidi Al Arafi.

Chapitre X :

Superstitions.
Les
conseils , prières et bénédictions de Sidi Al Arafi rassurèrent les
deux femmes. L’enfant est fasciné par le voyant aveugle. Lalla Zoubida
garde l’enfant à la maison. Ainsi, elle se sent moins seule et sa
présence lui fait oublier ses malheurs. Chaque semaine, ils vont prier
sous la coupole d’un saint. Les prédications de Sidi A Arafi se
réalisent. Un messager venant de la compagne apporte provisions, argent
et bonne nouvelles de Sidi Abdesalam. Lalla Aicha invite Lalla Zoubida.
Elle lui réserve une surprise. Il semble que son mari reprend le chemin
de la maison.

Chapitre XI :

Papotage de bonnes femmes.
Thé
et papotage de bonnes femmes au menu chez Lalla Aicha. Salama, la
marieuse, est là. Elle demande pardon aux deux amies pour le mal qu’elle
leur a fait. Elle avait arrangé le mariage de Moulay Larbi. Elle
explique que ce dernier voulait avoir des enfants. Elle apporte de
bonnes nouvelles. Plus rien ne va entre Moulay Larbi et sa jeune épouse
et le divorce est pour bientôt. Zhor, une voisine, vient prendre part à
la conversation. Elle rapporte une scène de ménage. Le flot des potins
et des médisances n’en fint pas et l’enfant lui , qui ne comprenait pas
le sens de tous les mots est entraîné par la seule musique des syllabes.

Chapitre XII :

Un conte de fée a toujours une chute heureuse.
La
grande nouvelle est rapportée par Zineb. Maâlem Abdslem est de retour.
Toute la maison est agitée. Des you you éclatent sur la terrasse Les
voisines font des vœux. L’enfant et sa mère sont heureux . Driss, est
arrivé à temps annoncer que le divorce entre Moulay Larbi et la fille du
coiffeur a été prononcé. La conversation de Driss El Aouad et de Moulay
Abdeslem, ponctuée de verres de thé écrase l’enfant. Il est pris de
fatigue mais ne veut point dormir. Il se sent triste et seul. Il tire sa
Boite à Merveille de dessous son lit, les figures de ses rêves l’y
attendaient.

zineb belabbas
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